L’industrie du luxe est connue pour créer un effet de manque en organisant scientifiquement les ruptures de stock. C’est ce que j’ai essayé de faire en disparaissant quelques semaines ! Comment ça, c’est pas crédible ?

Bon d’accord, tout ça pour vous dire que je suis enfin de retour sur ces pages pour vous raconter la suite de mes aventures chocolatées …

Et pour commencer, une excellente nouvelle : j’ai obtenu mon CAP ! Et pas seulement moi : tous mes camarades aussi 🙂

J’ai donc réussi à convaincre les examinateurs sur l’ensemble de nos épreuves :

  • le dessin de la pièce en chocolat que je comptais réaliser pendant l’épreuve pratique
  • la pratique, que je vous ai déjà racontée en détails ici et
  • l’oral d’économie et droit (j’avais 15 minutes pour répondre à l’épineuse question “Qu’est-ce qu’un organigramme / La hiérarchie ?”)
  • l’oral de sciences, hygiène et sécurité (j’avais 15 minutes pour répondre à des questions sur la conservation du chocolat et comment se laver les mains … Attention, quand on se lave les mains il faut monter jusqu’au coude !)
  • un écrit d’une heure avec des questions sur le contrat de travail, les risques professionnels et les gestes de premier secours en cas d’accident (pour ma part je crois bien que j’ai tué le personnage principal de notre sujet, et ses collègues avec 🙁 )
  • un écrit de deux heures pour compléter une recette, re-calculer les quantités d’ingrédients pour produire 800 bonbons, établir le bon de commande correspondant … répondre à des questions sur la fabrication du chocolat, du sucre … sur le fonctionnement du matériel et l’électricité … (l’épreuve la plus facile pour moi 🙂 )

Si vous êtes intéressés, je pourrai vous raconter plus en détails le contenu du programme dans un prochain article !